Ce mardi 28 octobre, la dynamique du Club Partenaires Cuma France s’est poursuivie en Nouvelle-Aquitaine, grâce à l’accueil chaleureux de la FR CUMA Nouvelle-Aquitaine. Plus de 80 participants : élus, salariés du réseau Cuma et partenaires, se sont réunis pour une journée riche en échanges, innovations et convivialité.
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Un programme tourné vers la coopération et l’avenir
Au cours de cette journée partenaires :
Des rencontres bilatérales ont permis d’identifier de nouvelles synergies entre le réseau Cuma en Nouvelle Aquitaine et les membres du Club Partenaires, au service des agriculteurs.
Des partages d’expériences locales ont illustré la force du collectif et la pertinence des solutions coopératives mises en œuvre sur le terrain.
Des moments conviviaux ont favorisé la création de liens solides et la consolidation de la confiance entre les acteurs du réseau.
Un collectif toujours plus fort
Cette journée inspirante confirme une fois encore que le collectif est la solution d’avenir pour accompagner les transitions agricoles et renforcer la coopération au sein du réseau.
Un grand merci à nos partenaires, ainsi qu’à l’ensemble des élus et salariés du réseau Cuma Nouvelle Aquitaine pour la richesse des échanges et la qualité des contributions.
Nos remerciements s’adressent également à la FR CUMA Nouvelle-Aquitaine pour son accueil et son engagement.
Prochain rendez-vous : le 2 décembre, avec la Fédération des Hauts-de-France, pour poursuivre cette belle dynamique et continuer à faire grandir le collectif Cuma !
Elle a troqué l’open space toulousain pour la bastide aveyronnaise. Dans ce nouvel épisode de Finta le podcast, Marine Boyer, éleveuse de vaches limousines nous raconte comment l’engagement local, la solidarité et la coopération agricole l’ont menée de son exploitation familiale à un poste national…
Face aux défis de l'agriculture moderne, qui exigent à la fois productivité, sécurité et sobriété énergétique, la formation des futurs professionnels de l'agroéquipement est plus que jamais cruciale. Au Lycée Professionnel Agricole (LPA) de Saint-Yrieix-la-Perche, l'accent est mis sur une expertise technique de pointe et une collaboration étroite avec les acteurs du terrain, notamment le réseau des Coopératives d'Utilisation de Matériel Agricole (CUMA).
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Dans la vallée du Gave d’Oloron, la CUMA du Layou poursuit l’innovation collective. Entre méthanisation, cultures intermédiaires et nouvelles stratégies de fertilisation, un groupe d’agriculteurs s’organise aujourd’hui en GIEE pour construire des références de terrain adaptées à leur territoire.
Des viticulteurs s’appuient sur la Cuma et un GIEE pour expérimenter de nouvelles pratiques viticoles. Leur objectif : réduire les coûts, partager les savoirs et avancer collectivement vers une viticulture plus durable et agroécologique.
Face à la détection de la Dermatose Nodulaire Contagieuse, qui continue de gagner d’autres départements, soyons plus que jamais solidaires avec les éleveuses et les éleveurs qui font face à cette épidémie.
Dans un contexte agricole de plus en plus exigeant, la Cuma (Coopérative d'Utilisation de Matériel Agricole) de Bourlens, baptisée "La Céréalière", s'affirme comme une solution essentielle pour les agriculteurs locaux.
Nous vous proposons une plongée dans l’histoire des Cuma à travers un texte de 1960, témoin d’une époque où la modernisation agricole s’accompagnait d’un profond idéal social.
Face au défi majeur du renouvellement des générations d'agriculteurs, une étude, réalisée par une élève ingénieure de Bordeaux Sciences Agro, Océane Joufflineau et menée en Nouvelle-Aquitaine auprès de 99 futurs installés, étudiants et agriculteurs de terrain apporte un éclairage précieux sur les difficultés rencontrées, mais surtout sur les solutions qui fonctionnent.
À la FRCUMA Nouvelle-Aquitaine, la sécurité de nos salariés est au cœur de nos préoccupations. Dans le cadre de notre démarche de Responsabilité Sociétale des Organisations (RSO), nous avons franchi une étape importante en formant l'ensemble de notre équipe à la formation de Sauveteur Secouriste du Travail (SST).
Konrad Schreiber, agronome chez LVH (La Vache Heureuse) et chef de projet au sein de l’IAD, partage son expérience et sa vision sur l’intégration du semis direct dans les systèmes agricoles.
Une enquête menée dans 15 Cuma des Landes et des Pyrénées-Atlantiques révèle un constat contrasté : si les herses étrilles, houes rotatives et bineuses sont bien présentes dans les ateliers, leur usage reste limité. Organisation du travail, efficacité perçue et habitudes freinent leur adoption.
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